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Parole d’entrepreneur ! F. Charlier vous raconte sa reprise d’un hotel

DBLE : Quel était votre projet quand vous avez rencontré DBLE ?

F. Charlier : Après avoir dirigé durant 2 années un centre de profit dans une SSII et managé une centaine de collaborateurs, je souhaitais monter ma propre petite entreprise avec comme conditions et obligation de travailler avec ma moitié, dans la partie sud de la France et dans un autre domaine que l’informatique. Que faire ?
Et pourquoi pas reprendre un hôtel ! Ce projet était au démarrage une idée de reconversion inspiré par mon ancien PdG, qui 3 ans auparavant, avait (fortune personnelle aidant) acheté 3 hôtels en région PACA.
DBLE : Quel a été votre parcours ?

F. Charlier : Mes premières démarches furent de contacter des professionnels de cession de fond de commerce de ce type, de mettre en place des moteurs de recherche de vente d’hôtel, de faire le tri des annonces récupérer, d’établir des planning de visite d’affaire à vendre et de faire les visites planifiées.
Rapidement, après mes toutes premières visites, j’ai ressenti le besoin de me faire accompagner. En effet la reprise d’entreprise pour moi c’était tout nouveau. Commet m’y prendre ? Créer une société ? Comment étudier les chiffres présentés ? Que dire ou ne pas dire ? Comment ne pas me faire avoir ? … J’avais eu connaissance durant mes recherches de formation spécialisée dans le domaine et je m’y suis inscrit.
Cette formation achevée, j’étais armé pour continuer mes recherches à 200 à l’heure afin de trouver l’affaire. Durant 18 mois, avec ma moitié (en congés création d’entreprise), nous avons tourné et viré dans tous les départements situés en dessous de la Loire. Nous avons visités plus d’une quarantaine d’établissements.

DBLE : quelles difficultés avez-vous rencontré lors de votre reprise d’entreprise ?

F. Charlier : Après réflexion, pour la reprise de notre affaire (hôtel de 33 chambres sur Toulouse), nous n’avons pas rencontré de grandes difficultés. Nous avions mis tous les atouts de notre coté :

  • Une étude très détaillée des bilans par une professionnelle (ancienne expert comptable et 20 ans d’hôtellerie),
  • Un prévisionnel prometteur (potentiel TO et réduction de charges possibles) et un avis éclairé de DBLE sur le sujet,
  • Un accompagnement du cédant 3 semaines avant la reprise,

En revanche, les difficultés rencontrées ont été avant la reprise à savoir :

  • Nombreuses affaires visitées non viables (perte de temps et d’argent)
  • Projet de reprise de société avec montage de garantie de passif (compliqué, casse-gueule, inexpérimenté, …)
  • Recherches longues et fastidieuses (18 mois)  découragement, crainte de ne pas trouver, finances en baisse, protections sociales limites, …
  • L’ensemble des professionnels spécialisés en cession d’entreprise contactés non à la hauteur (malgré un taux de commission non négligeable). Manque d’aide de leur part dans l’étude des prévisionnels, dans l’établissement des offres, dans la rédaction des plan de financement.

DBLE: Que vous a apporté DBLE ?

F. Charlier : Les 3 jours de formation passés chez FUSACQ avec comme interlocuteur Alexis de Bertren (DBLE) ont été une source de motivation pour me lancer tête baissé et sans crainte dans la recherche de mon affaire. En effet, avant cette formation, la reprise d’entreprise me semblait incertaine et compliqué. Malgré mon passé de gestionnaire de centre de profit, lire et étudier un bilan ainsi que d’établir un prévisionnel était nouveau. Quel type de société monter et pourquoi ?
L’intérêt de DBLE sur mon projet précis, leurs conseils avisés et spécifiquement choisis donnés tout au long de sa formation ont été le déclic pour moi. La reprise d’un hôtel me semblait plus simple. Le plan d’action était monté dans ma tête. Les questions à poser au cédant étaient claires et je savais quoi faire.
Durant mes 18 mois de recherche, j’ai fais appel à DBLE à 2 reprises pour me conseiller sur 2 affaires (dont la dernière) et j’ai apprécié de nouveau leur implication.

DBLE : Quelle(s) satisfaction(s) vous apporte la réussite de votre reprise ?

F. Charlier : La reprise de mon affaire d’hôtellerie m’a apporté la satisfaction de pouvoir travailler en famille d’être mon propre patron et d’être serein sur l’avenir.

DBLE : Quelles sont vos perspectives pour l’avenir ?
F. Charlier : Et 1 et 2 et 3………